Une nouvelle étude évaluée par les pairs, menée par notre cofondateur Dimitrios Terzis, en collaboration avec la Scuola universitaria professionale della Svizzera italiana (SUPSI) et soutenue par Innosuisse, nous ramène à l’histoire de l’origine des micro-organismes à l’origine de notre technologie.
En isolant 50 souches environnementales d’une prairie du Tessin – naturellement riche en calcium – notre équipe a identifié des micro-organismes robustes, omniprésents dans les sols et les eaux souterraines, capables de produire les enzymes qui déclenchent le . Ces souches ont été cultivées dans des bioréacteurs industriels avec un contrôle de qualité méticuleux. Le plus beau ? Cette méthode de mise à l’échelle permet de réduire les coûts de production jusqu’à 40 % et de répondre aux principaux goulets d’étranglement associés à la bioconcentration :
Alors que l’intérêt pour les solutions de à base de microbes ne cesse de croître, notre équipe continue de repousser les frontières avec des applications in situ et mobiles pour les routes, les berges et les infrastructures essentielles en Europe et au-delà, permettant de réduire considérablement les émissions de et de . Ces solutions combinent l’innovation technique, l’efficacité économique et la responsabilité environnementale.
Le développement de produits reste notre boussole. L’étude a déjà été citée dans des publications de premier plan. Si vous êtes en Suisse, nous serions heureux de vous accueillir dans notre usine de biotechnologie industrielle, où nous produisons jusqu’à 500 000 litres de biociment par an, au service de 10 territoires dans le cadre de divers projets verticaux.
Article complet : https://lnkd.in/eQUYfVhA
